- EAN13
- 9782373851663
- Éditeur
- Du Sonneur
- Date de publication
- 25/10/2018
- Collection
- La grande collection
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
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Pionnier du hard-boiled, Jim Tully fut le premier a donner une voix aux
immigres irlandais, loin des stereotypes et des caricatures de l'epoque.
Temoignage emouvant sur une minorite opprimee, Les Assoiffes dessine aussi -
en filigrane - le portrait d'un conteur dechire entre son heritage et son
desir de reconnaissance.
Les Assoiffes (Shanty Irish), publie en 1928, est le cinquieme livre de Jim
Tully qui s'etait fait connaitre par le recit de sa jeunesse de hobo dans
Vagabonds de la vie, Autobiographie d'un hobo en 1924. Son grand projet etait
de constituer une sorte de " comedie humaine des bas-fonds " dont chaque
episode aurait eu pour cadre un milieu qu'il avait vu de pres. Il commença
avec les " vagabonds du rail " et enchaina avec " les ouvriers du cirque "
dans Circus Parade avant de revenir a sa famille et ses origines irlandaises
dans Les Assoiffes.
Les Assoiffes est compose de tranches de vie des membres de sa famille dont la
personnalite ou le destin firent echo au sien : son grand-pere, grand conteur
de bistrot ; son pere terrassier, taille comme un gorille et qui passait des
heures a lire malgre sa myopie ; sa mere au grand coeur et a la foi impregnee
de folklore celtique ; son oncle John Lawler, gibier de potence au magnetisme
animal...
Pionnier du hard-boiled, Jim Tully fut le premier a donner une voix aux
immigres irlandais, loin des stereotypes et des caricatures de l'epoque.
Temoignage emouvant sur une minorite opprimee, Les Assoiffes dessine aussi -
en filigrane - le portrait d'un conteur dechire entre son heritage et son
desir de reconnaissance.
Comme les deux precedents, le livre rencontra beaucoup de succes en Amerique
et au Royaume-Uni, et s'attira les louanges de H. L. Mencken, critique redoute
: " Tout comme Gorki, Jim Tully a le pouvoir de faire vivre les miseres des
pauvres et des desesperes, mais il a en plus un sens de l'humour qu'on
n'imaginerait pas chez un Russe. Dans Les Assoiffes, j'ai l'impression qu'il
est alle encore plus loin que d'habitude. Ce recit n'est pas seulement
remarquablement realiste, il a aussi une belle qualite poetique. "
immigres irlandais, loin des stereotypes et des caricatures de l'epoque.
Temoignage emouvant sur une minorite opprimee, Les Assoiffes dessine aussi -
en filigrane - le portrait d'un conteur dechire entre son heritage et son
desir de reconnaissance.
Les Assoiffes (Shanty Irish), publie en 1928, est le cinquieme livre de Jim
Tully qui s'etait fait connaitre par le recit de sa jeunesse de hobo dans
Vagabonds de la vie, Autobiographie d'un hobo en 1924. Son grand projet etait
de constituer une sorte de " comedie humaine des bas-fonds " dont chaque
episode aurait eu pour cadre un milieu qu'il avait vu de pres. Il commença
avec les " vagabonds du rail " et enchaina avec " les ouvriers du cirque "
dans Circus Parade avant de revenir a sa famille et ses origines irlandaises
dans Les Assoiffes.
Les Assoiffes est compose de tranches de vie des membres de sa famille dont la
personnalite ou le destin firent echo au sien : son grand-pere, grand conteur
de bistrot ; son pere terrassier, taille comme un gorille et qui passait des
heures a lire malgre sa myopie ; sa mere au grand coeur et a la foi impregnee
de folklore celtique ; son oncle John Lawler, gibier de potence au magnetisme
animal...
Pionnier du hard-boiled, Jim Tully fut le premier a donner une voix aux
immigres irlandais, loin des stereotypes et des caricatures de l'epoque.
Temoignage emouvant sur une minorite opprimee, Les Assoiffes dessine aussi -
en filigrane - le portrait d'un conteur dechire entre son heritage et son
desir de reconnaissance.
Comme les deux precedents, le livre rencontra beaucoup de succes en Amerique
et au Royaume-Uni, et s'attira les louanges de H. L. Mencken, critique redoute
: " Tout comme Gorki, Jim Tully a le pouvoir de faire vivre les miseres des
pauvres et des desesperes, mais il a en plus un sens de l'humour qu'on
n'imaginerait pas chez un Russe. Dans Les Assoiffes, j'ai l'impression qu'il
est alle encore plus loin que d'habitude. Ce recit n'est pas seulement
remarquablement realiste, il a aussi une belle qualite poetique. "
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