- EAN13
- 9782717728668
- ISBN
- 978-2-7177-2866-8
- Éditeur
- BnF Éditions
- Date de publication
- 14/10/2021
- Collection
- L'oeil curieux
- Nombre de pages
- 47
- Dimensions
- 16,9 x 12 x 0,5 cm
- Poids
- 60 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Offres
Les monstres, ou monstra, " ceux que l'on montre ", désignent au Moyen Âge des êtres prodigieux, tour à tour effrayants, drôles ou parodiques. Figures majeures de l'imaginaire médiéval, ces créatures fantastiques sont largement représentées dans les pages des manuscrits qui témoignent de l'inventivité des enlumineurs de l'époque et permettent au lecteur de découvrir un univers insolite, fortement incarné.
Du Léviathan à la bête de la mer dans l'Apocalypse, la Bible regorge de créatures terrifiantes, liées au péché, qui inspirent largement l'imaginaire médiéval. On les retrouve dans les romans arthuriens, où les chevaliers sont souvent aux prises avec des monstres d'une laideur repoussante.
Au Moyen Âge, les monstres évoquent ainsi tour à tour des êtres aux confins de l'humain et de l'animal, des créatures fantastiques, à la marge. C'est tout un univers d'êtres composites, d'animaux à visage humain et d'humains dépourvus de tête, d'animaux hybrides, de dragons, griffons et autres licornes qui inspirent les enlumineurs et peuplent les marges des manuscrits enluminés.Ces petits monstres ont parfois une portée symbolique. A valeur satirique, à l'encontre du clergé, du médecin ou des vices humains, ils donnent alors lieu à des figurations très cocasses.
Du Léviathan à la bête de la mer dans l'Apocalypse, la Bible regorge de créatures terrifiantes, liées au péché, qui inspirent largement l'imaginaire médiéval. On les retrouve dans les romans arthuriens, où les chevaliers sont souvent aux prises avec des monstres d'une laideur repoussante.
Au Moyen Âge, les monstres évoquent ainsi tour à tour des êtres aux confins de l'humain et de l'animal, des créatures fantastiques, à la marge. C'est tout un univers d'êtres composites, d'animaux à visage humain et d'humains dépourvus de tête, d'animaux hybrides, de dragons, griffons et autres licornes qui inspirent les enlumineurs et peuplent les marges des manuscrits enluminés.Ces petits monstres ont parfois une portée symbolique. A valeur satirique, à l'encontre du clergé, du médecin ou des vices humains, ils donnent alors lieu à des figurations très cocasses.
S'identifier pour envoyer des commentaires.
Autres contributions de...
-
Cahiers Louis Dumur, Pour qui la guerre ?Nicolas Gex, Françoise Dubosson, Sabine MaffreClassiques Garnier
-
Cahiers Louis Dumur, Vivre au Mercure de FranceNicolas Gex, Françoise Dubosson, Sabine MaffreClassiques Garnier