- EAN13
- 9791020409430
- ISBN
- 979-10-204-0943-0
- Éditeur
- BEAUX ARTS ED
- Date de publication
- 06/11/2024
- Collection
- ALBUM EXPOS
- Nombre de pages
- 68
- Dimensions
- 28,6 x 21,9 x 0,4 cm
- Poids
- 390 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Offres
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13.00
Le Petit Palais accueille la première rétrospective
française du peintre José de Ribera (1591-1652).Sa formation artistique est encore sujette à controverse,
mais sa présence est attestée à Parme en 1611, alors
qu'il n'a que vingt ans. Déjà son génie ne fait aucun
doute et il s’impose comme l’un des peintres les plus
brillants de son époque. Mais c’est à Rome, qu’il rejoint
dès 1616, que son talent éclate véritablement, alors qu’il
découvre la peinture du Caravage, dont il se fait l’un des
fidèles disciples tout en accentuant les contrastes
d’ombres et de lumières. Couvert de dettes, il fuit Rome
pour Naples, où il finit sa vie. Là, grâce à la protection du
vice-roi Conde de Osuna, Ribera devient rapidement
une personnalité éminente de la scène artistique
napolitaine, recevant de nombreuses commandes de
l’aristocratie locale et des puissants ordres religieux.
Si Ribera est proche du réalisme de Caravage, il absorbe
également des éléments d'autres langages artistiques
de son époque, notamment des aspects du classicisme
bolonais et de la couleur romaine.
Beaux Arts Éditions revient sur ce génie précoce et
montre une œuvre tragique et terriblement baroque,
qui oscille sans cesse entre le réalisme cru et la violence
implacable des clairs-obscurs.
française du peintre José de Ribera (1591-1652).Sa formation artistique est encore sujette à controverse,
mais sa présence est attestée à Parme en 1611, alors
qu'il n'a que vingt ans. Déjà son génie ne fait aucun
doute et il s’impose comme l’un des peintres les plus
brillants de son époque. Mais c’est à Rome, qu’il rejoint
dès 1616, que son talent éclate véritablement, alors qu’il
découvre la peinture du Caravage, dont il se fait l’un des
fidèles disciples tout en accentuant les contrastes
d’ombres et de lumières. Couvert de dettes, il fuit Rome
pour Naples, où il finit sa vie. Là, grâce à la protection du
vice-roi Conde de Osuna, Ribera devient rapidement
une personnalité éminente de la scène artistique
napolitaine, recevant de nombreuses commandes de
l’aristocratie locale et des puissants ordres religieux.
Si Ribera est proche du réalisme de Caravage, il absorbe
également des éléments d'autres langages artistiques
de son époque, notamment des aspects du classicisme
bolonais et de la couleur romaine.
Beaux Arts Éditions revient sur ce génie précoce et
montre une œuvre tragique et terriblement baroque,
qui oscille sans cesse entre le réalisme cru et la violence
implacable des clairs-obscurs.
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