- EAN13
- 9791020409362
- ISBN
- 979-10-204-0936-2
- Éditeur
- BEAUX ARTS ED
- Date de publication
- 09/10/2024
- Collection
- ALBUM EXPOS
- Nombre de pages
- 76
- Dimensions
- 28,4 x 22 x 0,5 cm
- Poids
- 428 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Offres
-
13.00
Du 8 octobre 2024 – 19 janvier 2025 au musée d'Orsay
S’il fut longtemps relégué au second plan, Caillebotte est
désormais considéré comme l’une des figures majeures du groupe impressionniste.
Peintre, collectionneur et mécène, formé chez Bonnat, proche de Degas, Renoir,
de Nittis et Pissarro, avec lesquels il expose de 1876 à 1880. Gustave Caillebotte
(1848-1894) est un peintre visionnaire, qui ose le cadrage tronqué, la
perspective accélérée, les plongées vertigineuses, un style que l’on pourrait
sans mal qualifier de « cinématographique ». Les vues urbaines et les
intérieurs bourgeois lui fournissent les principaux sujets. Sa peinture mêle
les leçons du réalisme et les ambitions de l’impressionnisme. À sa mort et
après des tergiversations, l’État accepte le legs de sa collection, à
destination du musée du Luxembourg, faisant ainsi entrer l’impressionnisme dans
l’histoire.
Cet automne, le musée d’Orsay se concentre sur les figures
masculines de ses œuvres et interroge la modernité si radicale des
chefs-d’œuvre de l’artiste, au prisme du nouveau regard que l’histoire de l’art
porte sur les masculinités du XIXe siècle. Beaux Arts Éditions accompagne
l’exposition en revenant sur la vie et l’œuvre de celui qui fut un grand
acteur, un ami, un mécène et un promoteur de l’impressionnisme.
S’il fut longtemps relégué au second plan, Caillebotte est
désormais considéré comme l’une des figures majeures du groupe impressionniste.
Peintre, collectionneur et mécène, formé chez Bonnat, proche de Degas, Renoir,
de Nittis et Pissarro, avec lesquels il expose de 1876 à 1880. Gustave Caillebotte
(1848-1894) est un peintre visionnaire, qui ose le cadrage tronqué, la
perspective accélérée, les plongées vertigineuses, un style que l’on pourrait
sans mal qualifier de « cinématographique ». Les vues urbaines et les
intérieurs bourgeois lui fournissent les principaux sujets. Sa peinture mêle
les leçons du réalisme et les ambitions de l’impressionnisme. À sa mort et
après des tergiversations, l’État accepte le legs de sa collection, à
destination du musée du Luxembourg, faisant ainsi entrer l’impressionnisme dans
l’histoire.
Cet automne, le musée d’Orsay se concentre sur les figures
masculines de ses œuvres et interroge la modernité si radicale des
chefs-d’œuvre de l’artiste, au prisme du nouveau regard que l’histoire de l’art
porte sur les masculinités du XIXe siècle. Beaux Arts Éditions accompagne
l’exposition en revenant sur la vie et l’œuvre de celui qui fut un grand
acteur, un ami, un mécène et un promoteur de l’impressionnisme.
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