- EAN13
- 9782259216326
- Éditeur
- Plon
- Date de publication
- 17/11/2011
- Collection
- Numérique Plon
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Après neuf mois d'entretiens, Yves Boisset nous livre ses souvenirs drôles et
tragiques, ses vérités qui ne sont jamais bonnes à dire et raconte son cinéma
de combat, l'arme à l'oeil.
"Il ne faut jamais s'attarder à regarder dans le rétroviseur, disait Michel
Audiard, on risque de se casser la gueule."
Après avoir commis une cinquantaine de films, de Dupont Lajoie à Jean Moulin
en passant par Le Prix du danger et Un taxi mauve, la tentation est pourtant
grande de regarder dans le rétroviseur.
50 ans de cinéma avec trois obsessions : le refus de l'injustice, la quête de
vérité et le combat contre la bêtise.
Au fil de ces brûlots qui dénoncent, souvent avec humour, les tares de notre
société, ses errances et ses magouilles, on a le bonheur de rencontrer des
gens aussi passionnants que Michel Déon, François Mitterrand, Robert Mitchum,
Jean-Pierre Melville, Patrick Dewaere, Charlotte Rampling, Michel Piccoli,
Jean Carmet, Miou-Miou, Lee Marvin, René Clément, Bernard-Pierre Donnadieu,
Annie Girardot, Louis-Ferdinand Céline, pour ne citer que les plus
flamboyants.
"Mort aux cons" avait écrit sur le capot de sa Jeep le capitaine Dronne à la
veille de la Libération. "Vaste programme" lui avait sobrement fait remarquer
le général de Gaulle. On ne saurait mieux dire.
tragiques, ses vérités qui ne sont jamais bonnes à dire et raconte son cinéma
de combat, l'arme à l'oeil.
"Il ne faut jamais s'attarder à regarder dans le rétroviseur, disait Michel
Audiard, on risque de se casser la gueule."
Après avoir commis une cinquantaine de films, de Dupont Lajoie à Jean Moulin
en passant par Le Prix du danger et Un taxi mauve, la tentation est pourtant
grande de regarder dans le rétroviseur.
50 ans de cinéma avec trois obsessions : le refus de l'injustice, la quête de
vérité et le combat contre la bêtise.
Au fil de ces brûlots qui dénoncent, souvent avec humour, les tares de notre
société, ses errances et ses magouilles, on a le bonheur de rencontrer des
gens aussi passionnants que Michel Déon, François Mitterrand, Robert Mitchum,
Jean-Pierre Melville, Patrick Dewaere, Charlotte Rampling, Michel Piccoli,
Jean Carmet, Miou-Miou, Lee Marvin, René Clément, Bernard-Pierre Donnadieu,
Annie Girardot, Louis-Ferdinand Céline, pour ne citer que les plus
flamboyants.
"Mort aux cons" avait écrit sur le capot de sa Jeep le capitaine Dronne à la
veille de la Libération. "Vaste programme" lui avait sobrement fait remarquer
le général de Gaulle. On ne saurait mieux dire.
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