Augustin m'a fait rire et m'a fait peur. Il est très très gênant, mais le ton décalé m'a beaucoup plu et j'ai aimé suivre les pérégrinations de ce bonhomme qui voudrait exister à tout prix, qui est un peu bizarre, parano, dénué d'empathie et qui envie les femmes parce que c'est plus facile d'être une proie qu'un prédateur au fond !
R.E.

Après un premier chapitre qui pourra sembler un peu philosophique, on va de surprises en surprises, d'aventures en aventures, aussi dérisoires ou cocasses soient-elles. Personnellement, c'est le phrasé que j'ai préféré, et la construction. . Mais n'étant pas critique ou auteur moi-même, je préfère citer la fin de l'article de Télérama qui est très bien vu : "La mordante écrivaine dirige cruellement et très drôlement, ce ballet d'amours fatiguées, d'amitiés décérébrées, de désirs lamentables. Ici, on jouit , on meurt, on se suicide pour n'importe quoi. Comme on vit. Comme on rit."